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Página:Pau Brasil (Andrade, 1925).pdf/37

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Tem hua guedelha grande no toutiço
E se move com passos tam vagarosos
Que ainda que ande' quinze dias aturado
Não vencerá distancia de hu tiro de pedra

 
O CAPUCHINHO
CLAUDE D’ABBEVILLE
 
A moda
 

Les femmes n’ont point la lèvre percée
Mais en récompense
Elles ont les oreilles trouées
Et elles s’estiment aussi braves
Aves des rouleaux de bois dedans les trous
Que font les dames de pardeça
Avec leurs grosses perles et riches diamants

 
Cà e là
 

Cette coustume de marcher nud
Est merveilleusement difforme et deshonneste
N’estant peut estre si dangereuse
Ni si attrayante

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